D’après les experts, les maladies métaboliques, les problèmes de fertilité et les mammites font partie des problèmes de bien-être animal les plus fréquemment mentionnés dans les étables. De plus, le stress social et les conditions d’élevage inappropriées sont dénoncés. Toutefois, les progrès réalisés au cours des dernières décennies sont oubliés.
Des niveaux élevés de productivité sont souvent considéré comme facteur majeur impactant le bien-être animal. Cependant, des études de l’Institut national pour l’agriculture et la pêche du Mecklembourg-Poméranie (Allemagne) montrent que la santé animale et les rendements élevés sont interdépendants.
Par exemple, la durée de vie est plus élevée dans les troupeaux à forte production que dans les troupeaux à faible production (Boldt et al., 2016).
L’Institut Thünen de Braunschweig propose les indicateurs suivants pour l’évaluation du bien-être animal en matière d’alimentation :
- Les vaches dont la teneur en cellules de lait est supérieure à 400 000
- Les vaches avec un rapport graisse/protéine > 1,5
- Les vaches sous-conditionnées
- Les vaches boiteuses
- La santé du pis et du métabolisme
La question qui se pose est la suivante : Comment le bien-être animal peut-il être influencé par l’alimentation ?
Le critère le plus important pour une vache en bonne santé est la consommation de fourrage. Une vache en bonne santé mange bien et une vache qui mange bien est en bonne santé. Pour une consommation de fourrage élevée et donc un déficit énergétique moindre pendant la phase de transit, une bonne qualité du fourrage de base est d’une grande importance. Le fourrage de base est la base d’une ration adaptée aux ruminants, riche en fibres brutes et en nutriments.
Les conditions climatiques capricieuses de ces dernières années ont entraîné une forte fluctuation des qualités du fourrage de base.
Grâce à sa diversité, la gamme JOSERA Josilac offre la solution adéquate pour les besoins les plus divers, afin de garantir une qualité élevée de l’ensilage. Une bonne qualité du fourrage de base augmente automatiquement la consommation du fourrage et a donc une influence positive sur le bien-être animal.
Il est indéniable que les vaches les plus productives sont également les plus stressées. Une discussion à ce sujet est déjà obsolète du seul point de vue physiologique.
En plus de l’optimisation des conditions d’élevage, JOSERA DairyPilot peut conduire à une réduction du stress cellulaire et ainsi mettre à disposition de l’énergie pour d’autres processus métaboliques. De plus, JOSERA DairyPilot aide à réduire les processus inflammatoires dans le corps.
Un autre atout en matière de bien-être animal est le concept JOSERA Keragen Longlife qui a fait preuve de son efficacité dans de nombreuses exploitations. Des oligo-éléments organiques hautement disponibles en combinaison avec Selen-Protect® et un apport en vitamines A, D et E adapté aux besoins, ainsi que l’ajout de vitamines B stables dans la panse, aident le métabolisme à exploiter au maximum le potentiel génétique des vaches laitières d’aujourd’hui et ce, avec la meilleure santé possible.
Keragen Longlife est synonyme d’animaux stables sur le plan métabolique, avec des sabots et un pis en bonne santé et une bonne fertilité. Associés à une composition optimale de la ration, les produits JOSERA ont une influence positive sur les paramètres du bien-être animal mentionnés par l’Institut Thünen.
N’hésitez pas à contacter votre conseiller technique JOSERA si vous avez des questions sur le spectre d’action et le domaine d’application de nos produits.
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Comment l’alimentation influence les composants du lait ?
Le lait fait partie depuis toujours et dans le monde entier des aliments de base. Il existe un énorme potentiel de productivité des troupeaux dans les exploitations agricoles. En 2000 la moyenne de la production laitière en Allemagne était encore de 6.208 kg par vache et par an – en 2016 elle atteignait déjà 7.746 kg par vache et par an.